« La littérature est une merveilleuse errance dans le monde des autres jusqu’à ce qu’on découvre dans ce dédale le monde qui est le sien. Sans cet apprentissage livresque de la vie, on se heurte contre les parois, aveugle jouant à colin-maillard, bras dressé en avant de peur de se blesser. C’est la raison pour laquelle les lectures tardives n’ont pas le même poids car alors beaucoup de choses sont jouées, plus ou moins définitivement. C’est la raison pour laquelle il faut plonger les enfants dans la littérature comme on les plongerait dans un bain pour leur apprendre le réflexe de nager. »
Extrait de : Marc Dugain. Transparence.
Είναι ίσως οι μαθητές αυτοί που μιλούν καλύτερα από οποιονδήποτε άλλον γι᾽ αυτή τη νύχτα και την εμπειρία τους.